Le peuple Iranien souffre actuellement d’un gouvernement fondamentaliste, qui agit comme un modèle pour les autres groupes fondamentalistes à suivre. Ceci est devenu la première source de terrorisme et de guerre au Moyen-Orient et dans le monde. Cependant, il y a une excellente solution au régime Iranien en augmentant le soutien à Maryam Rajavi et à la Résistance Iranienne.
Maryam Rajavi, présidente élue de la Résistance Iranienne, est une femme musulmane qui dirige la lutte mondiale contre le fondamentalisme Islamique. Son but est d’apporter la liberté et la démocratie en Iran.
Comme l’a déclaré Maryam Rajavi, l’émergence de l’intégrisme découle d’une multitude de facteurs qui incluent des circonstances sociales et historiques, ainsi que des politiques menées par la communauté internationale. Le conflit entre le fondamentalisme et la liberté n’est pas une question de religion. Au lieu de cela, le fondamentalisme est le résultat d’une dictature qui soumet et opprime son peuple. Cette forme de religion a été rapidement développée par les grands établissements du 20ème siècle. L’une des évolutions qui a contribué à l’émergence de l’intégrisme est l’accession au pouvoir des mollahs réactionnaires en Iran. Pour la première fois, le régime en pouvoir en Iran a offert aux groupes fondamentalistes un modèle à suivre. Ces groupes sont maintenant devenus la source du terrorisme et de la guerre dans le monde, mais particulièrement dans la région du Moyen-Orient.
Rendez-vous ici pour suivre les activités de Maryam Rajavi et ses luttes contre l’intégrisme afin de rendre ce monde meilleur.
Les expériences de leadership de Maryam Rajavi l’ont dotée d’une vision révolutionnaire de l’égalité des sexes dans le monde entier. Dénonçant le fondamentalisme religieux de l’islam démocratique, l’égalité des sexes est le fondement de ce combat. Le but de Maryam Rajavi est de créer l’égalité entre les sexes dans la Résistance iranienne et de prôner la mise en place d’une république pluraliste et laïque qui respecte l’égalité.
Les fondamentalistes ont tendance à diriger leur vengeance et leur violence contre le Peuple iranien, mais surtout envers les femmes. Maryam Rajavi explique que le sexisme est au cœur de la mentalité fondamentaliste du régime iranien. Quand les mollahs ont volé le pouvoir à la population, ils ont compris que les femmes étaient les révolutionnaires. Ils ont donc décidé d’imposer des limites aux femmes dans les domaines de l’éducation et de l’emploi. Cependant, l’objectif de la Résistance iranienne est de permettre aux femmes d’avoir le même droit de jouir de tous les droits de l’homme et de toutes les libertés fondamentales. C’est pourquoi la lutte contre le fondamentalisme est l’un des plus grands objectifs de Maryam Rajavi. Elle a l’intention de lutter contre l’intégrisme en invoquant l’islam démocratique.
La Résistance iranienne a plusieurs plans pour l’Iran de demain. Outre leur combat pour l’égalité des sexes, la Résistance iranienne désapprouve également la peine de mort et toutes les formes d’abus en Iran. Ils ont déclaré qu’il demande l’abolition de la peine de mort en Iran. Un avenir pour l’Iran sans les décrets religieux des mollahs, la Résistance iranienne rejette totalement les lois abusives de ce régime. La Résistance iranienne prône des lois qui sont fondées sur le pardon, la compassion et l’humanité.
La dirigeante, Maryam Rajavi, et son équipe prévoient d’instaurer un système judiciaire indépendant, dynamique et libre. Nul ne devrait être privé de ses libertés et de ses droits et tous les citoyens devraient pouvoir profiter d’une sécurité réelle et de droits égaux devant la loi dans l’Iran de demain. Cette lutte contre le fondamentalisme est entièrement fondée sur l’amour de la liberté et des droits et non sur la rancune et la vengeance.
Depuis le 20 octobre 2016, la société française d’assurance SFAM annonce son soutien officiel pour Action contre la Faim. Cette implication dans le travail associatif montre l’étendue du projet de l’assurance affinitaire conçue pour offrir une protection optimale pour les personnes physiques et leurs biens matériels.
Dans le cadre de son programme d’accompagnement Social et d’Appui Nutritionnel en milieu Urbain, le leader français des assurances affinitaires tente d’embrasser les fléaux sociaux qui menacent la santé et la sécurité de tout un chacun. La SFAM a ainsi dévoilé son nouveau projet associatif à Madagascar.
L’inauguration de son siège social a eu lieu à Romans-sur-Isère : un événement à la hauteur des nouvelles perspectives de La SFAM au cours duquel son fondateur et président Sadri Fegaier a remis une somme non négligeable à l’association caritative Action contre la faim. La subvention qui s’élève à 300 000 euros va servir à financer la mobilisation dans un pays fortement touché par la famine : Le Madagascar.
Le soutien proposé ne s’arrête pas à la somme d’argent versée en faveur de l’association. Il consiste en un suivi afin d’accompagner « Action contre la faim » pour présenter une aide efficace au plus grand nombre. Cet accompagnement s’étend sur une durée de 3 ans.
Pour en savoir plus, rendez-vous sur www.actioncontrelafaim.org.
Fort de sa position dans le domaine des assurances, le président du groupe Sadri Fegaier déclare que son soutien pour cette association internationale reflète les vraies valeurs de son groupe de collaborateurs et de lui-même. Vu la croissance impressionnante de sa société, il pense qu’investir dans la lutte contre la faim est la meilleure manière de rendre l’ascenseur.
De plus, Sadri Fegaier dévoile qu’il est profondément convaincu qu’en menant une action bien pensée et bien dirigée, la campagne peut porter ses fruits et atteindre des résultats fort satisfaisants. La première décision à prendre était de commencer au plus vite pour mettre un terme au problème de la famine, devenue une véritable urgence au Madagascar.
Le programme a ainsi commencé en juillet 2016. Le but de cette démarche consiste à éradiquer les problèmes touchant à la nutrition et menaçant la sécurité des familles les plus démunies. Cette approche a pour objectif d’améliorer la situation sociale des familles vivant dans le milieu urbain depuis Madagascar jusqu’à Antananarivo.
Sortir les pays du tiers monde de la pauvreté : voilà le projet global d’Action contre la faim et La SFAM Cette collaboration commune a pour but d’apporter des solutions réelles et efficaces pour tirer les quartiers urbains des conditions déplorables auxquelles ils sont sujets.
Ce qu’il faut comprendre, c’est que la famine constatée au Madagascar n’est pas due à la guerre ou aux problèmes climatiques. Ce sont les conditions sanitaires désastreuses du pays qui compromettent la santé et la sécurité nutritionnelle des habitants. On parle même de « sous-nutrition chronique » telle qu’olivier Benquet, directeur d’Action contre la faim au Madagascar, la définit. Les statistiques montrent qu’un enfant de moins de 5 ans sur 2 est touché par ce fléau. Ce qui fait du Madagascar l’un des pays les plus pauvres au monde.
Pour combattre la faim, La SFAM et l’association SFAM partenaire ont mis en place une stratégie bien élaborée ayant pour objectif de s’attaquer aux causes en profondeur plutôt que de traiter les conséquences. Une intervention multi-sectorielle depuis la capitale malgache jusqu’aux alentours est en cours dans les domaines suivants :
En réalité, pour mettre un terme aux problèmes de la faim, il ne suffit pas de nourrir les enfants. Il faut aussi leur apprendre, ainsi qu’à leurs parents, les valeurs nutritives des aliments et les besoins du corps humain pour fonctionner correctement. Les populations touchées ne peuvent alors sortir de cette impasse que s’ils bénéficient d’une bonne éducation nutritionnelle.
François Marland est fils de pédiatre. Il fit des études de droit et devint avocat en 1979. En parallèle à cette activité, sa passion pour le monde de la médecine ne le lâche pas. Il exerce sa profession de thérapeute avec son père. 8 ans plus tard, il abandonne le droit pour se lancer en tant qu’entrepreneur. Il rachète une centaine d’entreprises et fonde le groupe Marland Distribution. Sa société regroupe plusieurs entreprises ayant des activités très variées, de la distribution de produits alimentaires, à la communication en passant par l’immobilier. Spécialisé dans la distribution, le groupe Marland Distribution devient l’un des leaders dans le sud de la France. Suite à quelques problèmes de santé, il revend sa société et retrouve son activité d’avocat à partir de 2001. En parallèle à ses multiples activités, François Marland a collaboré avec son père pour l’écriture d’un livre sur la psychanalyse à travers le thème de l’enfance.
Depuis une dizaine d’années, Francois Marland finance un orphelinat situé à Saint-Domingue en République Dominicaine. Son frère, Jean-Maurice Marland gère cet établissement pour aider les enfants de la ville à connaître un bon développement. La République Dominicaine est, en effet, un pays très pauvre où le seuil de pauvreté était de 35,90% en 2014. Les enfants issus de familles pauvres sont particulièrement touchés et subissent des discriminations, abus, maltraitance, un mauvais accès à l’éducation, aux soins, etc. C’est grâce à la fondation sonrisa de niño (qui signifie sourire d’enfant) que François Marland vient en aide aux nombreux enfants de la capitale de République Dominicaine. Cette association, fondée en 2006, permet aux enfants défavorisés de bénéficier d’une éducation et d’avoir un meilleur avenir. L’orphelinat accueille essentiellement des enfants en bas âge venant des centres CONANI (c’est une organisation gouvernementale pour les enfants orphelins ou qui se trouvent en situation dangereuse). Même dans leurs études supérieures, François Marland et son frère continuent à suivre les enfants de l’orphelinat de Saint Domingue.
En plus de la République Dominicaine, François Marland a participé au financement de 2 dispensaires à Haïti. C’est l’un des pays les plus pauvres de la région où la population n’a que très peu accès aux soins. La mortalité infantile y est très élevée et l’espérance de vie est d’à peine plus de 50 ans. L’amélioration de l’accès aux soins primaires est donc une priorité absolue pour ce pays. Depuis juin 2012, François Marland apporte son soutien financier aux dispensaires de Médor et de Pérodin afin d’aider les populations locales à se soigner. Les dispensaires mènent plusieurs actions au niveau curatif et préventif, mais également pour tout ce qui concerne le choléra et l’aspect nutritionnel.
Le vin a toujours été une boisson qui a marqué l’histoire de la race humaine. Il résulte du pressage des raisins « de différents types de ceps »(blanc ou rouge), mais le plus important est la fermentation du jus obtenu pour en tirer un goût unique.
Et c’est la méthode de fermentation qui fait vraiment la différence entre toutes le productions du monde que ce soit pour le vin blanc ou le vin rouge.
La méthode de vinification géorgienne à Kwewris fait partie de la liste des trois méthodes de vinification différentes au monde. Elle est un élément essentiel de l’identité culturelle des Géorgiens et joue un rôle majeur dans la vie quotidienne et les festivals traditionnels. Il existe d’innombrables chansons et poèmes dans lesquels le vin et la vigne sont loués et chantés. Les connaissances sur le traitement spécial du vin à Kwewris sont transmises oralement de génération en génération.
En décembre 2013, la méthode Kwewri a été incluse dans la liste du patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO.
Les kwewris sont de grands récipients en argile en forme de citron destinés à la production de vin, qui sont enfoncés dans la terre et dans lesquels le jus de raisin est fermenté avec le moût (styles et peaux). En raison de la forme bulbeuse des kvevris, la circulation naturelle se fait de telle sorte qu’aucun autre additif de fermentation n’est nécessaire.
À Kwewris, le vin peut reposer pendant des décennies à la bonne température. Pour les agriculteurs géorgiens, la cave à vin (en géorgien : « Marani ») est un lieu saint et est le cœur de la maison.
La tâche principale et la qualité caractéristique du kwewris, contrairement à la fermentation en fût de bois, était de préserver et de développer l’arôme de la variété. La méthode géorgienne de fermentation du kwewri a été utilisée dès 6000 avant J.-C.
Des amphores dans le style du Kwewri se sont répandues dans toute la Méditerranée. La fabrication des vaisseaux à parois minces était complexe et nécessitait des connaissances particulières, le transport était extrêmement difficile et c’est pourquoi, à partir du 1er siècle avant J.-C., ils ont été remplacés par des tonneaux en bois. En Géorgie, le vin était produit exclusivement à Kwewri jusqu’au début du XXe siècle. Jusqu’à aujourd’hui, les agriculteurs conservent leur vin de cette manière traditionnelle.
L’économie de l’Union soviétique, orientée vers la production de masse, avait presque fait disparaître la méthode kwewri. Pendant des décennies, les vins kwewri ont été produits et stockés exclusivement à titre privé. Aujourd’hui, il ne reste plus que trois artisans dans toute la Géorgie qui maîtrisent l’art de la fabrication des kvewri.
Certains viticulteurs italiens, autrichiens et franconiens pressent déjà avec succès avec la méthode Kwewri. Sous le terme de « vin orange », les vins naturels de Kwewri deviennent lentement plus populaires en Europe. Seuls neuf établissements vinicoles géorgiens exportent du vin produit à Kwewris selon des méthodes traditionnelles. On trouve les véritables kvewri géorgiens dans des magasins de vin sélectionnés.
Pour les producteurs de vin locaux ainsi que pour l’industrie du tourisme, le statut de patrimoine mondial de l’UNESCO offre des perspectives intéressantes, notamment en raison de l’accord d’association récemment signé avec l’UE, qui devrait permettre de supprimer presque toutes les barrières douanières à l’avenir.
Depuis 1994, les cathédrales Gelati et Bagrati à Kutaissi ainsi que l’ancienne capitale Mzcheta avec les églises Dschwari et Swetizchoweli font partie du patrimoine mondial de l’UNESCO, depuis 1996 également les villages médiévaux de montagne de Svanetia. En 2007, le chant polyphonique géorgien a été inscrit sur la liste du patrimoine immatériel de l’humanité de l’UNESCO.
Visitez la maison des Kwewris. Lors de nos visites guidées, vous découvrirez non seulement les différentes caves qui pressent leur vin en kwewris, mais aussi les différences entre les méthodes européennes et géorgiennes. Vous visiterez une poterie de Kwewri et, bien sûr, vous dégusterez une variété de vins de pays et de marque géorgiens.
Titanic est l’un des films les plus populaires et les plus réussis de tous les temps. Il a été lancé dans les salles en novembre 1997. Ainsi, cela fait plus de 20 ans que nous avons vu ce film pour la première fois, et pourtant Titanic reste une icône du cinéma contemporain. Retour sur l’histoire passionnante des jeunes amants de Titanic qui ont rendu ce film aussi célèbre.
L’histoire du Titanic a fait l’objet d’une couverture médiatique depuis sa création, car il s’agissait du plus grand et du plus luxueux paquebot de l’époque. Cependant, sa vie a été courte puisqu’il a coulé lors de son voyage inaugural. Il a fait naufrage, causant la mort de 1514 personnes (hommes, femmes et enfants) sur un total de 2223. Une véritable tragédie dans les eaux glacées de l’Atlantique. Son histoire a été entourée de mystères, de prémonitions, de controverses. La rareté des canots de sauvetage, la gestion de la compagnie White Star Line, tout cela a été très critiqué. De plus, la plupart des victimes étaient de passagers (femmes et hommes) de troisième classe, une démonstration tragique des inégalités sociales de l’époque. Ceci a inspiré de nombreux films, le premier, Saved from the Titanic, un court métrage muet de 1912, peu après le naufrage. Le plus célèbre reste cependant celui de Cameron. Au cinéma, le film de Cameron a non seulement battu tous les records en termes de box-office, mais il a également compté sur un budget jamais vu auparavant, ce qui nous a donné des scènes romantiques vraiment émouvantes, mais aussi tragiques, grâce aux effets spéciaux. Au-delà de l’histoire de Jack et Rose, Cameron se souvient également de certains personnages réels qui étaient effectivement sur le Titanic, comme Molly Brown, Thomas Andrews, Benjamin Guggenheim ou le commandant Smith. La tragédie, l’histoire d’amour, les effets spéciaux, le mobilier, les vêtements et toute la décoration ont permis au film de remporter 11 Oscars. A travers cette histoire à la fois romantique et tragique, cameron nous a invités à rêver, à revivre une tragédie et une époque pleine d’inégalités sociales ; il nous a donné sa fascination pour le Titanic. Cette fascination se reflète également dans les nombreuses visites que le Titanic a toujours reçues, une exposition itinérante sur le très célèbre navire.
En plus de la tragédie, l’un des aspects les plus importants du film est l’histoire d’amour romantique entre Jack et Rose, deux jeunes gens amants qui viennent de mondes très différents, mais qui semblent très bien s’entendre. L’histoire de ce couple nous présente une relation amoureuse très idéalisée, qui commence par un éclair, progresse rapidement et se termine de la manière la plus tragique possible… Si la plupart des films passés au cinéma ont une fin heureuse dont le mariage, l’histoire du jeune couple amoureux dans l’histoire de Titanic se termine par leur séparation en raison de la mort de Jack. Leur relation n’a pas abouti au mariage. L’amour a toujours existé, il est partout, mais il est très difficile de le définir. Les philosophes grecs ont élaboré diverses théories sur l’amour, la psychologie a également traité le sujet et le cinéma et la littérature n’ont certainement pas été à la traîne. L’amour est une chose qui échappe à la rationalité et, notre difficulté à le comprendre et à l’adapter à un modèle, nous amène à élaborer une infinité de théories.
Dans le Symposium de Platon est rapporté un mythe sur la recherche constante de notre moitié, l’âme sœur. Ce mythe explique qu’à l’origine, les premiers êtres avaient une forme arrondie, avec 4 bras, 4 jambes et 2 visages. Plus tard, ils seront divisés en deux, donnant naissance à l’être humain ; et cela expliquerait pourquoi, dans notre parcours de vie, nous cherchons constamment notre « autre moitié ». L’amour a été considéré comme une énergie ou une source d’inspiration inépuisable, capable de faire bouger le monde et que l’on retrouve dans tout ce qui nous entoure. Trouver cette moitié qui nous manque nous apporterait un équilibre, mais comme il s’agit d’une quête spirituelle et presque divine, il est fréquent que la mort apparaisse aussi, comme c’est le cas, par exemple, dans Roméo et Juliette. Dans l’œuvre bien connue de Shakespeare, les jeunes amoureux se heurtent à une barrière sociale, tout comme dans Titanic. En psychologie, une importance particulière est accordée à la figure de Sternberg, qui a développé la théorie de l’amour triangulaire. Il y explique que, pour que l’amour soit vrai, nous devons prendre en compte trois dimensions : la passion, l’intimité et la décision/engagement. Ils doivent être développés pour parler d’amour. On peut identifier ces trois dimensions sans trop de difficultés chez les protagonistes du film Titanic, car, dès le début, on perçoit un désir de connaître l’autre, de savoir qui il est. En pratique, ils veulent se lier de manière intime. Nous voyons aussi une forte passion, comme si une force incontrôlable poussait les deux protagonistes à être ensemble ; et, évidemment, l’engagement apparaît aussi. N’oublions pas la fameuse phrase « si tu sautes, je saute aussi ». L’histoire du jeune couple amoureux dans Titanic est si magique et fascinante qu’elle mène à une relation impossible, qui présente de nombreux signes de l’idéalisation qui caractérise l’amour romantique. Elle a toutes les composantes de l’idéalisation : le coup de foudre, la passion imparable, les obstacles, les différences sociales et, bien sûr, la tragédie. Une idéalisation qui, en revanche, nourrit notre imagination depuis l’Antiquité et qui nous présente un amour divin et inaccessible auquel nous ne pouvons accéder qu’après la mort, lorsque l’âme s’échappe de la prison corporelle, comme cela se produit aussi dans Roméo et Juliette. Cette œuvre de James Cameron a ému le monde entier, y compris la France. Il figure parmi les meilleurs films du siècle. Et c’est un des films que beaucoup aiment revoir encore et encore sans jamais s’en lasser.
Septième planète du système solaire par sa distance au Soleil et troisième par sa taille, la planète Uranus présente une particularité qui la distingue de toutes les autres. Son axe de rotation est incliné de 98° par rapport à son plan orbital autour du Soleil. De ce fait, la température enregistrée aux pôles, qui reçoivent plus de lumière, est supérieure à celle enregistrée à l’équateur.
Cette particularité est le résultat de collisions répétées de la planète avec d’autres corps célestes. On pourrait l’imaginer comme une toupie posée sur un côté. La Terre, à titre de comparaison, est inclinée d’environ 23°. La couleur vert-bleu est due à la présence de méthane, d’hydrogène, d’hélium, d’eau et d’ammoniac dans son atmosphère.
Distante du Soleil de 2 900 millions de km et d’un diamètre équatorial de 51 118 km (4 fois celui de la Terre), la température minimale de son atmosphère peut atteindre -220°C. Ses satellites naturels découverts jusqu’en 2011 sont au nombre de 27. Cette planète possède également un système de 13 anneaux.
Cinq des planètes du système solaire, à savoir Mercure, Vénus, Mars, Jupiter et Saturne, ont déjà été découvertes dans les temps anciens : c’est parce qu’elles sont bien observables dans le ciel, même à l’œil nu.
La découverte des autres planètes, Uranus, Neptune et Pluton (en 2006 reclassée comme planète naine) a commencé après l’introduction du télescope. Cela grâce à Galileo Galilei, qui a eu le mérite de l’amélioration et de la première utilisation astronomique des lentilles et qui le 21 août 1609 a révolutionné le monde de l’astronomie en présentant son télescope au gouvernement vénitien.
Uranus est la première planète à avoir été découverte au moyen d’un télescope. L’astronome et musicien britannique d’origine allemande William Herschel, en scrutant le ciel avec un télescope réflecteur de sa propre construction, remarqua, comme l’indique son journal, « une curieuse étoile nébuleuse ou peut-être une comète ». C’était le 13 mars 1781.
Au départ, il n’a donc pas identifié de planète, mais l’hypothèse d’une comète lui a semblé plausible. En fait, dans ses observations ultérieures, détectant le mouvement de ce corps céleste, il a noté : « J’ai cherché l’étoile comète ou nébuleuse et j’ai trouvé que c’était une comète, car elle a changé de position ». Le 26 avril 1781, Herschel présente sa découverte dans le récit « Account of a comet » publié dans les Transactions philosophiques de la Royal Society of London.
Plusieurs astronomes, ayant pris conscience de cette nouvelle découverte et ayant fait de nombreuses observations concernant l’orbite et l’absence de poil ou de queue, ont fini par convenir qu’il s’agissait d’une planète. Herschel lui-même, réalisant que la nature du corps céleste découvert différait de celle d’une comète sur de nombreux points, la reconnut comme « Planète primaire de notre système solaire », comme l’écrivit une lettre au président de la Royal Society en 1783.
Avant d’être correctement classée, Uranus avait déjà été observée auparavant par plusieurs astronomes, tous convenant à tort qu’il s’agissait d’une étoile.
Les premières observations remontent à 1690 par l’astronome royal de l’observatoire de Greenwich John Flamsteed, qui l’a enregistrée comme « étoile 34 de la constellation du Taureau ». James Bradley, également astronome royal, l’a observée à partir de 1748. L’astronome français Pierre Charles Le Monnier l’a identifié à plusieurs reprises depuis 1750.
Le nom qu’Herschel a donné au corps céleste qu’il a identifié comme une comète était Georgium Sidus, ou « l’étoile de George ». Cela en l’honneur de George III du Royaume-Uni, roi de Grande-Bretagne et roi d’Irlande. Après l’approbation de sa nature en tant que planète, il la rebaptise Planète géorgienne, « the Giorgian Planet », nom qui n’est accepté que sur le territoire de la Grande-Bretagne.
Les propositions de nom à lui attribuer sont nombreuses : le nom du découvreur lui-même, Herschel, Astrea, Cybele, Neptune de George III, Neptune de Grande-Bretagne, Hypercronius, Transaturnis, Minerva. Le nom approuvé était celui qui est actuellement utilisé, Uranus. Il représente la divinité grecque dans le ciel. Ce nom a été proposé par l’astronome allemand Johann Elert Bode, éditeur du Berliner Astronomisches Jahrbuch.
La période qu’il a fallu à Uranus pour compléter son orbite autour du Soleil est de 84 ans, ce qui correspond également à l’âge où son découvreur Herschel est mort en 1822.
Le tsunami qui a frappé l’océan Indien a été la catastrophe naturelle la plus perturbatrice du siècle dernier, causant la destruction de maisons et de villes et la mort de 230 000 personnes. Le tsunami, d’une magnitude supérieure à 9 sur l’échelle de Richter, s’est produit le 26 décembre 2004 : l’épicentre du séisme sous-marin était situé au milieu de la mer, à quelques kilomètres au sud-ouest de l’île de Sumatra, en Indonésie (160 km à une profondeur de 30 km). Le tremblement de terre a été si violent qu’il a touché toute l’Asie du Sud-Est, atteignant aussi les côtes de l’Afrique de l’Est.
Les pays les plus touchés ont été l’Indonésie, le Sri Lanka, mais aussi la Thaïlande, la Birmanie, le Bangladesh, les Maldives et toute l’Inde. En outre, les secousses ont touché une grande partie du Kenya et les zones côtières de la Somalie. Le tsunami de 2004 a certainement été un phénomène dévastateur : le principal séisme la plus longue d’une durée de 8 minutes, a été ressentie pratiquement partout sur la Terre.
La violence de ce tremblement de terre était telle que les experts ont dû établir une nouvelle estimation de la magnitude, qui a atteint 9,3. Les sismologues ont comparé cet événement à l’explosion des bombes atomiques de la Seconde Guerre mondiale : la force du tsunami était 1,5 million de fois supérieure. Une autre comparaison est celle qui a associé l’énergie de ce tremblement de terre à l’énergie libérée par l’explosion de 100 millions de tonnes de TNT. Une force vraiment énorme, inimaginable.
Dans l’histoire moderne, nous ne nous souvenons que d’un seul autre événement encore plus fort et plus impressionnant : le grand tremblement de terre chilien (Valdivia), qui s’est produit le 22 mai 1960 et a fait des milliers de victimes. Ce tremblement de terre, qui a fait trembler la terre et la mer en même temps, a provoqué des vagues de 15 mètres, véritables palais d’eau. Sa force (magnitude 9,5) était telle qu’elle a provoqué les oscillations libres de la Terre et a permis de les mesurer pour la première fois.
Le tsunami de l’océan Indien est à bien des égards une catastrophe hors du commun. Parmi les choses les plus intéressantes, certainement l’énorme zone d’intérêt : des estimations ont calculé que la plaque indienne s’est glissée sous la plaque birmane en la soulevant d’environ 10 mètres. Ce mouvement a provoqué la génération de vagues gigantesques, capables de se déplacer à 800 kilomètres à l’heure et d’atteindre les côtes des pays surplombant l’océan Indien.
Un tremblement de terre, cependant, ne se termine jamais par un seul séisme, bien que très forte. Les jours suivants, la terre a continué à trembler en raison de séismes de moindre force, mais toujours dévastatrices (amplitude du cinquième au septième degré). Le tsunami a également pu modifier l’angle de l’axe de la terre de 1,5 degrés. Qu’est-ce que cela peut causer ? Elle peut avoir réduit la durée d’une journée d’environ 3 µs (microseconde). Rien qui ait un impact sur la population humaine, car la « relation » entre la Terre et la Lune provoque un allongement annuel de la journée d’environ 15 µs, ce qui signifie que d’ici quelques années, la planète aura totalement annulé l’impact du tremblement de terre, du moins de ce point de vue.
Toujours au sujet des effets, plus ou moins calculables, certains spécialistes affirment que le raz-de-marée a également fait glisser les îles de Sumatra de 20 mètres. Il s’agit toutefois d’une thèse qui doit encore être vérifiée.
Le souvenir du tsunami est présent aux yeux du monde entier : villages rasés, maisons détruites, réduites en tas de décombres, morts, orphelins, blessés et tant de désespoir. Il y a eu 226 000 victimes directes, mais la région est si vaste et si pauvre qu’il était pratiquement impossible de faire un recensement. On prétend que jusqu’à 400 000 personnes pourraient être tuées et qu’un tiers de ces personnes seraient des enfants. Certaines zones (au sud de l’Inde et au Sri Lanka, entre autres) auraient pu avoir des conséquences moins graves, si l’arrivée de la vague avait été étalée dans le temps, sachant qu’il fallait environ 3 heures pour traverser le golfe du Bengale.
Le concept de qu’est-ce qu’une ville intelligente est très large, car il couvre de nombreux aspects du développement urbain durable. C’est pourquoi la définition de ce qui est et de ce qui n’est pas une « ville intelligente » dépendra de la personne qui l’évalue. Ce que toute définition doit nécessairement inclure, c’est la durabilité dans son meilleur état.
Ainsi, on pourrait dire que les villes intelligentes sont des cadres urbains qui utilisent les technologies disponibles pour développer le bien-être de leurs citoyens en respectant au maximum l’environnement qui les entoure, atteignant un point d’équilibre appelé durabilité.
Selon les études les plus récentes, 85 % de la population mondiale devrait vivre dans des villes d’ici 2050. Ces données montrent une massification progressive des villes, dont les conséquences sont déjà évidentes : elles sont surtout préoccupées par l’approvisionnement énergétique, les émissions nocives excessives dans l’atmosphère et la régulation du trafic routier. Ce n’est pas un hasard si les villes d’aujourd’hui consomment plus de 75 % de la production énergétique mondiale et génèrent 80 % des émissions de gaz à effet de serre de la planète. Dans ce contexte, 80 % des villes espagnoles ont déjà investi entre 10 et 40 millions dans les technologies intelligentes.
C’est ainsi qu’est née cette philosophie qui vise à transformer les zones urbaines et à résoudre ces problèmes sociaux et environnementaux. Mais à quelles exigences une ville doit-elle répondre pour être considérée comme une ville intelligente ? Nous vous le disons dans notre nouvelle infographie :
Comme pour sa définition, il n’y a pas d’exigences spécifiques qui accordent le « titre » de ville intelligente à un territoire donné. Toutefois, il est absurde d’y faire référence sans avoir mis en œuvre certaines des caractéristiques suivantes que tout noyau urbain durable doit respecter
Au fil du temps, le concept initial a été décliné en plusieurs sous-systèmes spécialisés qui, en harmonie, définissent parfaitement le courant idéologique proposé pour les villes du futur.
Ainsi, les Smart Grids, réseaux de distribution électrique efficaces ; les Smart Metering, mesures individualisées des dépenses énergétiques ; les Smart Buildings, architecture optimisée et autosuffisante ; les Smart Sensors, capteurs qui permettront de garder toute la ville connectée ; l’eMobilité, basée sur la circulation des véhicules électriques, entre autres.
Les villes de New York, Londres et Paris, qui sont en tête du classement des villes les plus développées dans ce domaine, en sont un bon exemple, selon la dernière analyse de l’IESE Business School.
D’autre part, de nouvelles villes émergent également, qui sont déjà nées avec l’ADN d’une ville intelligente. C’est le cas spécifique de Másdar (Dubaï) qui accueillera une éco-ville de 50 000 habitants où les voitures ne peuvent pas être utilisées. Conçu par Norman Foster and Partners, il a une superficie de plus de 6 000 000 m². La construction a commencé en 2008 avec un mur d’enceinte vert caractéristique pour protéger la ville de la corrosion causée par les forts vents du désert. Ce méga-projet sera durable à 100 % dans la poursuite d’une vie sans émissions de carbone ni déchets.
A proximité, l’héritier de la couronne saoudienne, Mohamed bin Salman, prévoit la construction d’une future ville intelligente, appelée NEOM, qui disposera d’un budget de 500 milliards de dollars et dont nous avons déjà fait une brève analyse en Structuralia :
Une autre ville purement intelligente est Dongtan, située à l’est de l’île de Chongming, près de Shanghai, en Chine. Conçue par l’architecte chilien Alejandro Gutiérrez, la construction a débuté en 2007 et couvre une superficie de 8 500 hectares. Dans cette éco-ville, seules les énergies renouvelables seront utilisées (biomasse, éoliennes et solaires) ; les voitures particulières et les transports publics fonctionneront à l’hydrogène ; jusqu’à 80 % des déchets produits seront recyclés ; et l’eau potable aura un double usage : pour la consommation humaine et pour les rejets sanitaires et d’irrigation. Il est prévu que d’ici 2040, la ville aura la moitié de la taille de Manhattan.
Santiago du Chili et Buenos Aires, respectivement en 80e et 85e position, sont les deux villes d’Amérique latine qui figurent dans le classement des villes les plus intelligentes du monde mentionné ci-dessus. Dès le premier, on retiendra sa lutte incessante contre la pollution de l’air et son pari sur l’autopartage. De la capitale argentine, de son incorporation technologique et de son infrastructure cycliste.
Le même rapport souligne le grand potentiel de développement de Quito, Monterrey, Lima et Saint-Domingue, des villes qui connaîtront une croissance importante dans ce secteur.
Rien qu’en Amérique latine, la transformation numérique et énergétique des villes augmentera de 19,4Selon la société de conseil Markets, l’entreprise devrait atteindre un chiffre d’affaires de plus de 750 milliards de dollars d’ici 2020.
C’est précisément ce dernier secteur, celui des énergies renouvelables, qui a été le plus actif ces derniers temps. Ainsi, par exemple, le Chili va investir 100 millions de dollars pour soutenir son programme ; l’Argentine a reçu une injection de 480 millions de dollars de la Banque mondiale pour le développement de ses projets ; ou encore l’investissement remarquable de plus de 530 millions de dollars dans les infrastructures énergétiques que le groupe énergétique de Bogota va investir cette année.
Il est clair que ce financement est de bon augure pour la création de centaines de milliers d’emplois dans le monde entier, qui seront destinés aux ingénieurs compétents du secteur. Pour ce faire, ces professionnels doivent être formés aux questions liées à la production d’électricité, à l’entretien des centrales électriques ou aux économies d’énergie dans les bâtiments durables. Mais non seulement il y aura des opportunités en matière d’énergie, mais l’éventail des villes intelligentes s’étendra au domaine de la gestion des installations et des projets, de la construction modulaire des bâtiments, de la maîtrise de la méthodologie BIM et de l’application des nouvelles technologies dans toutes les phases de développement de ces infrastructures.
Les villes du futur sont plus proches que nous ne le pensons et il est essentiel que les étudiants, les professionnels et les entreprises se préparent à profiter pleinement des nouvelles opportunités commerciales ; en fait, certaines sources soulignent que les villes intelligentes généreront le chiffre non négligeable de 1,29 milliard d’euros en 2020.
Dans le domaine halieutique, le label MSC est de plus en plus courant. Les principes et critères du Marine Stewardship Council pour une pêche durable sont une norme garantissant que l’activité est bien gérée et exploitée de manière responsable pour soutenir le milieu marin environnant. La certification de cette norme démontre l’engagement envers des pratiques spécifiques et se traduit par une reconnaissance sur le marché.
Le Marine Stewardship Council (MSC) est une organisation indépendante, mondiale et sans but lucratif. Il a d’abord été créé dans le cadre d’un effort conjoint pour résoudre le problème de la surpêche par Unilever et le WWF en 1997. Il est devenu indépendant en 1999. La mission de l’organisation est d’utiliser son écolabel et son programme de certification des pêches pour préserver les océans en reconnaissant et en récompensant les pratiques respectueuses de l’environnement. Dans cette optique, l’organisme influence les choix que les gens font lors de l’achat de fruits de mer et en travaillant avec des partenaires pour transformer le marché des fruits de mer sur une base durable.
Le programme MSC considère la durabilité environnementale des pêcheries sauvages. D’autres programmes, tels que celui géré par l’Aquaculture Stewardship Council (ASC), prennent en compte les pratiques aquacoles impliquées dans une pisciculture responsable. Le label MSC offre aux acheteurs des assurances pour les fruits de mer sauvages et d’élevage. Il existe certains produits, contenant à la fois du poisson sauvage et du poisson d’élevage, où vous pouvez trouver deux types d’étiquettes côte à côte.
Il existe également d’autres programmes, tels que celui de la pêche responsable de Seafish et Fair Trade USA, qui se concentrent sur les impacts sociaux, notamment les conditions de travail, les heures de travail et le traitement des membres d’équipage.
L’évaluation de la norme de pêche à travers le label MSC prend en compte les impacts et les contextes spécifiques d’une pêcherie particulière. Cette dernière est évaluée sur ses impacts spécifiques pour déterminer si elle répond ou non aux exigences du MSC.
L’élément le plus important du processus de certification est d’identifier et de traiter de manière transparente les problèmes concernant les stocks cibles, l’impact de la pêche sur le milieu marin et l’efficacité du système de gestion de l’activité.
Cela diffère des recommandations ou des notes sur les fruits de mer, telles que celles produites par le WWF. Ces recommandations ont tendance à se concentrer sur les types d’espèces en général et à fournir des informations que les consommateurs ou les traiteurs peuvent utiliser pour faire des choix éclairés. Beaucoup tiennent compte de la certification MSC, mais ils utilisent différents critères pour déterminer la durabilité de la pêche, généralement sur la base de leur propre examen des informations disponibles.
En ce qui concerne le programme MSC, il vous suffit de rechercher le label bleu MSC sur les produits de la mer pour savoir qu’une pêcherie a été jugée durable par un auditeur indépendant.
La certification aux principes et critères du label MSC permet avant tout à une organisation spécialisée dans le milieu aquacole de satisfaire aux exigences du marché d’une vérification par un tiers de la pêche durable. C’est un premier moyen de différencier les produits dans un marché de plus en plus concurrentiel. En adoptant cette certification, le fournisseur est privilégié et s’adapte instantanément au consommateur soucieux de l’environnement. Les commerçants qui suivent ce programme soutiennent le positionnement de leur produit avec l’écolabel. Ils démontrent ainsi une bonne intendance des ressources à la communauté et aux intervenants, tout en contribuant à une pression accrue pour l’amélioration des pêcheries non durables.
En regardant les informations, on se rend compte que le monde ne va pas bien. En effet, en plus de la pauvreté qui touche tous les pays du globe, il faut rajouter les tragédies liées aux phénomènes naturels meurtriers.
Nous pensons, par exemple, aux inondations et glissements de terrain de Jakarta de 2018 et aux incendies massifs d’Australie de 2019/2020.
Parce que la mission du Secours populaire français est de venir en aide à toutes les populations dans le besoin, en France et dans le monde, l’association a besoin de vous de toute urgence.
Notre but n’est pas d’entrer dans le débat écologique. Cela appartient à tout un chacun de se faire sa propre opinion. Dans tous les cas, il est difficile de nier que le climat mondial est en train de changer. Entraînant avec lui des événements impressionnants et meurtriers.
Parmi les exemples les plus actuels, vous avez sûrement entendu parler des inondations et glissements de terrain à Jakarta. En plus des dizaines de morts à déplorer, des milliers de personnes se retrouvent sans logement. Il faut leur venir en aide.
Non loin de là, en Australie, des feux de forêt sont en train de dévaster le continent. Les chiffres sont alarmants. La faune et la flore se font décimer et de nombreux habitants sont obligés d’évacuer leurs maisons. Cette catastrophe écologique est en train de se transformer en urgence sociale.
Nous ne pouvons pas rester sans rien faire.
Pour répondre à cela, le SPF a déjà lancé un appel d’urgence. Ce qui a permis à l’association de récupérer 100 000 €. Évidemment, ce n’est pas suffisant. C’est pourquoi nous émettons un nouvel appel à la solidarité et à vos dons.
Quelques euros par personne suffisent pour venir en aide à ces populations dans le besoin. L’objectif du Secours populaire : pouvoir intervenir sur place afin d’accompagner les personnes les plus vulnérables.
Puisque vous récupérez jusqu’à 75% de votre don en réductions d’impôts, pourquoi hésiter ?